Jacques Adnet« Nous trouverons le beau dans la noblesse et la simplicité » |
Texte extrait de la revue Elites Françaises N° Spécial 1948 |
Jacques Adnet« Nous trouverons le beau dans la noblesse et la simplicité » |
Texte extrait de la revue Elites Françaises N° Spécial 1948 |
Exclu de l'Atelier Cormon en 1886, il quitte Paris pour un voyage à pied en Normandie et en Bretagne. À Concarneau il rencontre Émile Schuffenecker (1851-1934) qui lui donne une lettre d'introduction à l'attention de Paul Gauguin. Bernard se rend à Pont-Aven mais il y a peu de contact avec Gauguin.
C’est en examinant ces graphiques que l’on comprend le travail du créateur. L’escalier, la porte, le lampadaire, la table, Gilbert Poillerat les éclaire en décidant de leurs formes et de leurs volumes, car il ajoute à son art de décorateur les connaissances techniques de la forge.
Jules Pascin ( 1885-1930 ), de son vrai nom Julius Mordecai Pincas est le fils un riche marchand, de la ville de Vidin en Bulgarie. Ses relations tumultueuses avec une tenancière de maison close, conduit son père à lui exiger de changer de nom. C’est ainsi qu’il décide de se faire appeler un jour Julius Pascin
La Chine s’est hissée à la première place du marché des enchères de l’art en 2010, détrônant les Etats-Unis et la Grande-Bretagne qui dominaient le marché depuis 50 ans. Cette même année, dans le top 10 des artistes mondiaux en termes de produit de ventes annuel, figurent quatre Chinois. Parmi eux, Qi Baishi (1864-1957), dont une des oeuvres a battu le record mondial de vente pour une peinture contemporaine chinoise, est révélateur de la nouvelle place de la Chine.