Henri Auguste Solié, estimation et cote des bijoux Art Nouveau
Il est un joaillier au talent unique.
Il est un joaillier au talent unique.
Les sculptures de Igor Mitoraj ont indéniablement la cote ! Si vous recherchez à acquérir un bronze de Igor Mitoraj, les premiers prix débutent autour de 1.000 euros pour "Cuirasse II", bronze mesurant 15 cm. Mais l'estimation moyenne tourne autour de 6.000 à 9.000 euros pour un torse "Aesclépios" en bronze.
C’est en 1904 que Henri Manguin découvre Saint-Tropez pour ne plus s’en détacher. Il est frappé par la lumière et la beauté de la végétation. Il loue la ville Demière durant l’été 1905 et de là naitront de nombreuses toiles majeures dans l’œuvre du peintre : l’atmosphère exalte le peintre qui traduit son bonheur par une peinture haute en couleurs, affirmée, intense, expressive.
Willy Eisenschitz est né en 1889, fils d’un avocat juif. En 1911, il étudie l’art à l’Académie d’Art de Vienne. Il est bientôt fasciné par les mouvements modernistes français de cette époque. Comme il a un oncle qui vit à Paris, il a la chance d’aller à Paris et poursuit ses études d’art à la « Académie de la Grande Chaumière ». À l’Académie de Paris, il tombe amoureux de Claire Bertrand, et ils se marient peu de temps avant le déclenchement de la Première Guerre mondiale Au commencement de la guerre, Eisenschitz décide de revenir en Autriche, mais il est arrêté et interné dans un camp. Son épouse Claire Bertrand le suit et en 1915 et 1916 et leurs deux enfants, Evelyn, et David, sont nés dans le camp. Après la fin de la guerre, la famille décide de s’installer en Suisse, Eisenschitz souffrant de tuberculose sévère. Ils se déplacent à Luzern et en raison du changement de climat, espérant une guérison de la tuberculose de l’artiste. Quelques tableaux existent encore de cette époque, de style très différent. En 1920, la famille déménage à Paris.
Jean Després est Chevalier de la Légion d’Honneur depuis 1938. Bibliographie : Waldemar George, Jean Fougère.- Jean Després. Ed. Riegel, 1952. Jean Després orfèvre, artisan passionné pour son métier aime à travailler de ses mains et ne répète jamais aucune Pièce. Les obligations professionnelles – clientèle et expositions à Paris – ne l’ont jamais détaché de son Morvan où il puise, si ce n’est son inspiration, du moins un goût terrien et bourguignon – pour la vigueur rustique, l’ampleur généreuse de formes qui caractérisent son orfèvrerie de table où figurent en première Place Pichets et taste-vin.