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Henri Manguin, un peintre de la lumière

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Henri Manguin

C’est en 1904 que Henri Manguin découvre Saint-Tropez pour ne plus s’en détacher. Il est frappé par la lumière et la beauté de la végétation. Il loue la ville Demière durant l’été 1905 et de là naitront de nombreuses toiles majeures dans l’œuvre du peintre : l’atmosphère exalte le peintre qui traduit son bonheur par une peinture haute en couleurs, affirmée, intense, expressive.

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Willy Eisenschitz

Willy Eisenschitz

Willy Eisenschitz

Willy Eisenschitz est né en 1889,  fils d’un avocat juif. En 1911, il étudie l’art à l’Académie d’Art de Vienne. Il est bientôt fasciné par les mouvements modernistes français de cette époque. Comme il a un oncle qui vit à Paris, il a la chance d’aller à Paris et poursuit ses études d’art à la « Académie de la Grande Chaumière ». À l’Académie de Paris, il tombe amoureux de Claire Bertrand, et ils se marient peu de temps avant le déclenchement de la Première Guerre mondiale Au commencement de la guerre, Eisenschitz décide de revenir en Autriche, mais il est arrêté et interné dans un camp. Son épouse Claire Bertrand le suit et en 1915 et 1916 et leurs deux enfants, Evelyn, et David, sont nés dans le camp. Après la fin de la guerre, la famille décide de s’installer en Suisse, Eisenschitz souffrant de tuberculose sévère. Ils se déplacent à Luzern et en raison du changement de climat, espérant une guérison de la tuberculose de l’artiste. Quelques tableaux existent encore de cette époque, de style très différent. En 1920, la famille déménage à Paris.

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Jean Després

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Qui était Jean Després ?

Jean Després est Chevalier de la Légion d’Honneur depuis 1938. Bibliographie : Waldemar George, Jean Fougère.- Jean Després. Ed. Riegel, 1952. Jean Després orfèvre, artisan passionné pour son métier aime à travailler de ses mains et ne répète jamais aucune Pièce. Les obligations professionnelles – clientèle et expositions à Paris – ne l’ont jamais détaché de son Morvan où il puise, si ce n’est son inspiration, du moins un goût terrien et bourguignon – pour la vigueur rustique, l’ampleur généreuse de formes qui caractérisent son orfèvrerie de table où figurent en première Place Pichets et taste-vin.

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François Xavier Lalanne, une cote en hausse

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François-Xavier Lalanne, un indémodable sur le marché de l'art

C’est juste après la guerre, en 1945 que François-Xavier Lalanne s’inscrit à l’Académie Julian pour y étudier la peinture. Sa rencontre sur place avec les sculpteurs Constantin Brancusi et François Pompon le détourne de sa première passion et l’oriente vers la sculpture animalière. Se sentant artistiquement plus proche de l’art du XIXe siècle que contemporain, il se rattache lui-même à ce courant. Il rencontre sa future femme Claude en 1956 et décide de travailler avec elle. Leur duo complémentaire ne cessera pas, Claude travaillant sur les végétaux tandis que lui se concentre sur ses moutons, oies, et autres créatures de bronze. Cinquante années de carrière d’une remarquable constance, avec des expositions dans le monde entier et de nombreuses commandes publiques (Manufacture de Sèvres, le Jardin des Halles, la fontaine de la Défense). Les milliers d’oeuvres produites ont séduit bien des collectionneurs, surtout issus du milieu de la mode et l’on peut trouver l’un de ses moutons au centre Pompidou. Alors que la maison d’édition Flammarion célèbre la parution d’une monographie sur le couple en 2008, que François-Xavier Lalanne décède, à l’âge de 81 ans.

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Dom Perignon, toute une histoire

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PIERRE PÉRIGNON DIT DOM PÉRIGNON

 
La cuvée Dom Perignon de la maison de Champagne Moët & Chandon fait son apparition en 1937. Elle tient son nom du moine Pierre Pérignon, dit dom Pérignon, né à Sainte-Menehould (1638/1715). Moine bénédictin il serait selon certains, l’inventeur de la prise de mousse du vin dite la méthode champenoise. Méthode qu’il aurait importé de Limoux. Dans les faits, les traces écrites manquent et il est difficile de lui en accorder le crédit de manière certaine, par ailleurs remise en question par plusieurs historiens, mais la légende est née !
 

D’une manière générale, les mythes sont tenaces dans le domaine du vin. Voici un bel exemple ! Dom Pérignon était un moine, à la fin du XVIIème siècle et au début du XVIIIème, occupant la charge de chef cellérier - chef de l'office - à l’Abbaye de Hautvillers, près de la ville d’Epernay. Comme souvent, une des activités essentielles de cette abbaye était l’exploitation d’un vignoble et la production de vin. Dom Pérignon a acquis, de son vivant, une haute réputation pour la qualité de ses vins. Mais ces vins étaient tranquilles, comme l’ensemble de la production champenoise de l’époque. Ni lui, ni ses successeurs immédiats, n’ont jamais fait allusion à une quelconque effervescence dans les vins. Dom Pérignon est mort en 1715, et l’autorisation royale de mettre en bouteille du vin en Champagne ne fut accordée qu’en 1728.

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