Francis de Saint Genies : "Le chant de la mer"

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Francis de Lassus Saint-Genies, huile sur toile

Francis de Lassus SAINT-GENIES (1925-2018)

Le chant de la mer

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Miss Tic, cote et estimation gratuite

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Miss.Tic : une parisienne amoureuse de la vie 

En vente aux enchères, c'est à Paris où sont adjugées le plus grand nombre d'œuvres de Miss.Tic. 

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Bernard Buffet, une cote toujours en hausse

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Estimation, expertise, vente d'un tableau, dessin ou lithographie de Bernard Buffet

Vous cherchez à estimer ou expertiser un tableau de Bernard Buffet ?

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Jean-Pierre Cassigneul nous invite au voyage

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Les paysages de Jean-Pierre Cassigneul sont lumineux, les femmes sont séduisantes, les parcs et les jardins sont bien entretenus.

 L'artiste nous transporte à Deauville, sur le lac Léman ou au bois de Boulogne. Les personnages qui animent la composition - essentiellement féminins - semblent nous attendre pour partager avec eux leur douceur de vivre.

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Charles Camoin, quelle cote sur le marché de l'art ?

charles-camoin-cote-estimation Charles Camoin, bouquet de fleurs

Charles Camoin, un grand coloriste

Avec Matisse, Rouault et Marquet, Charles Camoin est l'un des élèves illustres de l'atelier de Gustave Moreau.Très lié avec Marquet, dont il a laissé un beau portrait (1904-1905, musée national d'Art moderne, Paris) ; il est impressionné par Cézanne, qu'il rencontre en 1902 et dont l'influence est sensible dans le Portrait de sa mère(1904), et surtout par Matisse avec qui il renoue après 1904 : « Mon instinct de coloriste me rapprochait de lui, mais ce qui restait chez moi du domaine de l'instinct devait très vite se développer chez lui en théorie. Théorie d'exaltation qui devint ce que l'on a appelé le fauvisme, et que, personnellement, je n'ai jamais suivie systématiquement », écrivait-il en 1955. Malgré ces réserves, il n'en reste pas moins que l'essentiel de son œuvre se place alors sous le signe de la peinture fauve, par la facture très libre et l'irréalisme du coloris sinon par sa violence : cinq toiles de lui figurent d'ailleurs à la fameuse exposition du Salon d'automne de 1905, qui voit le baptême du mouvement. Très réservé à l'égard du cubisme (« Que de faux grand style et de parti pris dans tout cela ! », écrivait-il en 1918), Camoin ne participera plus ensuite à aucun mouvement d'avant-garde : il est significatif qu'en 1918 il rende visite à Renoir vers qui il reporte désormais son admiration. Sa peinture, qu'il adoucit peu à peu (La Coupe bleue, 1930, musée national d'Art moderne), se vend bien et lui permet une fin de vie paisible, partagée entre Paris et Saint-Tropez et ponctuée par quelques grandes expositions.

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