Jean Léon Gérôme
Il a souvent peint des scènes historiques telles que Louis XIV et Molière (1863), La réception des ambassadeurs du Siam à Fontainebleau (1865) et La mort du Maréchal Ney (1868).
Il a souvent peint des scènes historiques telles que Louis XIV et Molière (1863), La réception des ambassadeurs du Siam à Fontainebleau (1865) et La mort du Maréchal Ney (1868).
Théo Tobiasse, est né en Israël en 1927. Sa famille qui venait de Lituanie espérait y trouver la terre promise.
L’œuvre de cet artiste est imprégnée de l’exil, de la femme mère-amante, et de réminiscences de l’enfance en Lituanie lorsque ses parents durent y retourner. La datcha dans la verdoyante campagne de Kaletova, les lumières des bateaux à roue pavoisés sur le Niémen, les traîneaux dans les rues enneigées de Kovno, mais aussi les théières rondes et les samovars ventrus, symboles de la chaleur familiale…
Après avoir traversé l’Allemagne, Berlin, Tobiasse arrive à Paris en 1931 où une gare triste et grise l’accueille au petit matin. S’ensuivent les années obscures de l’Occupation nazie où la famille restée cachée pendant deux ans, est malgré tout décimée. A la libération, Tobiasse ne rêve plus que de lumière, de soleil et de ciel immense.
Raul Lozza est un artiste argentin né en 1939 et mort en 1997.
Manuel Otero est un artiste peintre originaire d'Uruguay né en 1921 et décédé en 2003.
Carmelo Arden Quin (1913-2010)
Figure majeure de l'abstraction géométrique, poète et plasticien, Carmelo Arden Quin, joue un rôle d'artiste pionnier en Amérique-latine dans un contexte d'ébullition intellectuelle et artistique intense. Il s'installe définitivement à Paris en 1948. Fondateur avec Gyula Kosice du groupe MADI et de Arte Concreto-Invención, à Buenos Aires en 1946. L'esthétique que Carmelo Arden Quin défend à travers MADI est fondée sur la dynamique de l'invention pure, sur la notion de hasard et de combinaison. Son seul impératif est de s'échapper des limites du cadre, de sortir du carcan traditionnel de la toile peinte. Ainsi, les limites des oeuvres sont repoussées à l'extrême par leurs découpes géométriques angulaires à tel point que peinture MADI est devenue synonyme de tableau découpé.