Charlotte Perriand
Mobilier de Charlotte Perriand en vente aux enchères
Ensemble de deux fauteuils, quatre chaises et cinq tabourets en bois et paille
Ensemble de deux fauteuils, quatre chaises et cinq tabourets en bois et paille
Tabouret tripode en mélèze, piétement fuselé, épaisse galette tronconique, à montage tenons-mortaises. Haut. 27 cm – Diam. 32 cm
Banquette lit de repos à structure en chêne, piétement cylindrique, larges tasseaux formant ceinture profilée à la partie supérieure pour accueillir le matelas en reps vert bouteille d’origine (partiellement décoloré), passepoilé.
Meuble de rangement mobile sur quatre roulettes, structure formée de quatre éléments thermoformés en U en contreplaqué de frêne blond, superposés et maintenus par des arcatures en métal laqué noir.
Ensemble de six modules pouvant former assise, table basse ou table de chevet, éléments thermoformés en U en contreplaqué de frêne blond, munis chacun de douze perforations circulaires leur permettant d’être appareillés, deux coussins d’assise tendus d’un reps noir.
Fauteuil formé de deux modules thermoformés en U en contreplaqué de frêne blond, inversés, appareillés par des éléments métalliques, un tube métallique forme soutien du dossier, deux coussins d’assise tendus d’un reps noir.
MEUBLE A HAUTEUR D’APPUI en acajou et placage d’acajou, bois de rose dans des encadrements de palissandre et trois tiroirs dans une large ceinture.
Commode galbée à riche décor marqueté de fleurs dans des croisillons de bronze doré, ouvrant à deux tiroirs sans traverse, d'après BVRB
Dynastie d’ébénistes parisiens, d’origine hollandaise. L’activité des Van Risenburgh s’étend du début du xviiie siècle (arrivée de Bernard Ier à Paris) à 1775 environ (date où son petit-fils Bernard III abandonne le métier pour se consacrer à la sculpture).
Le vernis dans le goût de la laque du Japon, à décor de branchages fleuris, oiseaux et chimères or sur fond noirLa ceinture ornée d’une frise d’entrelacs et de feuilles d’acantheLa partie supérieure ouvrant à neuf petits tiroirs, ceux du milieu munis chacun d’une serrure verrouillant les tiroirs supérieurs et inférieurs
Vers 1770
Bâti en chêne, placage de bois de violette, marqueterie de bois divers sur fond de sycomore, bronzes dorés, marbre blanc veiné
H. 0,87 m ; L. 1,275 m ; P. 0,6 m
Inv. J 394
Console en fer forgé martelé à double piètement latéral en volutes et motif central en partie basse à décor d’entrelacs en losange.
Paire de grandes bergères en macassar, garnitures de velours d'origine.
Fils d'un entrepreneur de peinture alsacien installé à Paris, Ruhlmann est mêlé très jeune au milieu des architectes et des décorateurs. Il se forme aux techniques de l'ébénisterie et s'impose dès le Salon d'automne de 1913 par la forme élégante des pieds fuseaux et la préciosité des placages de ses meubles. La renommée viendra surtout après la guerre lorsque, associé à Laurent, il développe sa propre maison, les établissements Ruhlmann, entreprise de décoration qui édite les meubles, les bronzes, les tissus, etc. dessinés par lui. Ruhlmann incarne au plus haut degré un aspect typiquement français du mouvement « 1925 ». Face aux oppositions heurtées de formes et de couleurs chères aux artistes issus du mouvement munichois, Ruhlmann prône un retour aux traditions de l'ébénisterie française, en particulier la technique et le raffinement des placages (il employait soit des bois précieux, ébène de macassar rehaussée de filets d'ivoire, amboine, soit des matières rares, galuchat, maroquin).
placage et marqueterie de filets, imitant en trompe l’œil sur les montants et les quatre pieds fuselés les cannelures
BUREAU PLAT d’époque Louis XV, attribué à Bernard VAN RISENBURGH.
En placage d’amarante, ornementation de bronze ciselé et doré, les plaques latérales rapportées, le plateau mouvementé, la ceinture munie de trois tiroirs, reposant sur des pieds galbés.
Hauteur: 82 cm., Largeur: 188 cm. , Profondeur: 88 cm.
Elle ouvre par deux tiroirs séparés par une traverse. Les montants pincés légèrement galbés se terminent par des sabots. Fine ornementation de bronzes ciselés et dorés tels qu’entrées de serrure, poignées de tirage, chutes d’angles, tablier et sabots ajourés. Dessus de marbre rouge veiné blanc mouluré d’un cavet.