James Pradier, Pandore, bronze, vente aux enchères
Pandore, sculpture en bronze par James Pradier
James PRADIER (1790-1852)
James PRADIER (1790-1852)
Le sac 2.55 de Chanel fut créé par Gabrielle Chanel en février 1955. Le numéro 2.55 représente donc le mois et l'année de sa création, une habitude que la créatrice a prise, comme avec ses parfums et le très célèbre Chanel N° 5.
Constantin Andréou naît à São Paulo au Brésil en 1917 de parents grecs. En 1925, il vient en Grèce et commence en 1932 à réaliser des sculptures, d'abord en autodidacte puis conseillé à partir de 1935 par un professeur. Il s'engage en 1940 dans l'armée grecque pour combattre l'invasion italienne.
Né à Lübeck en Allemagne, le 18 Août 1935, Peter Klasen assiste terrorisé à l'âge de sept ans, au bombardement et à la destruction de sa ville natale.. Il perdra son père, et plusieurs membres de sa famille dans les combats de la seconde guerre mondiale. Tout son parcours et son oeuvre témoigneront de cette violence guerrière de l'enfance, dont il pressent encore sourdement au fond de lui même qu'elle est toujours présente dans la réalité de notre vie d'aujourd'hui.
Son oncle auprès de qui il vit alors a été l'élève d'Otto Dix, le peintre expressionniste, et son grand-père est un collectionneur d'art. Sensibilisé à l'univers de le peinture, il s'intéresse aussi à la littérature et lit Dostoïevski, Kafka, Thomas Mann.
Il est admis à l'Ecole des Beaux Arts de Berlin en 1955, où il a comme co-disciple Baselitz dans l'atelier de Hann Trier. En 1959, il décide de partir pour Paris après avoir reçu une bourse d'étude, afin de vivre en France dont son père lui avait tant parlé plus jeune et appris la culture et la langue.
Il s'intéresse au cinéma et voit à la Cinémathèque de la Rue d'Ulm les films allemands censurés par Hitler : Fritz Lang, Murnau, mais s'intéresse aussi à la nouvelle vague française : Godard, Truffaut, Chabrol. C'est à partir de là, avec la lectures des textes Dada et les travaux du Bauhaus, qu'il développe le concept d'e travailler à partir de la photographie, et de l'intégrer dans ses recherches picturales.
A partir de 1961, il intègre dans ses toiles des images morcelées ou déchirées de corps féminins, d'affiches publicitaires, mais aussi des images d'objets découpés dans la presse.
Après l'art informel, tel qu'il qualifie l'abstraction, qui selon lui est allé au bout de sa démarche, Peter Klasen devient le peintre du renouveau de l'image dans la peinture
Dès lors, avec des oeuvres parmi lesquelles par exemple " Nausée " en 1961, " La conscience du Corps " en 1964, " Stripteaseuse " et "Zone Interdite " en 1965 , il devient l'un des pionniers de la Figuration Narrative et participe à de nombreuses exposition.
En 1971, une rétrospective intitulée "Ensembles et Accessoires" au Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris lui est consacrée, dans laquelle il présente des oeuvres dans lesquelles des instruments chirurgicaux, des tuyaux, des néons et divers objets font leur apparition, ainsi que cuvette de WC ou baignoire représentées en grandeur nature.
Les années 1973 - 1980 orientent Peter Klasen vers des représentation en gros plans d'objets isolés sur des fonds neutres : des grilles, des barrières, des portes, des cadenas, qui pour lui représentent une vision de la maladie urbaine.
En 1981 un voyage à New York le conduit à prendre de multiples photos de graffitis, de salissures, de coulures, d'objets rouillés, qui sont présentées dans une exposition chez Adrien Maeght intitulée " Traces " en 1982, et l'amènent à s'intéresser aux effets du temps et de l'éphémère, à la dégradation et à l'usure, qui prennent alors une place importante dans son travail.De 1986 à 1989, il entreprend une série de cent tableaux intitulée " Mur de Berlin ", qui s'achèvera avec le démantèlement du mur en Novembre 1989. Cette série le conduit ensuite à s'intéresser à la représentation urbaine et à en dévoiler la face cachée : les murs, les entresols, les parkings, le béton, les objets abandonnés jusqu'à une exposition qu'il organise et intitule " Histoire de Lieux Ordinaires " en 1989 chez Louis Carré & Cie.
Avec les années 2000, il renoue avec l'intégration des images du corps dans des toiles de grandes dimensions et s'interroge avec les attentats terroristes du 11 septembre 2001sur la valeur qu'il reste de l'existence humaine en rapport avec la violence grandissante de nos sociétés.
Hasegawa Kiyoshi est un peintre de paysages animés, de natures mortes, de fleurs, peintre à la gouache, aquarelliste, graveur, illustrateur. Après être sorti diplômé de l'université Meiji de Tokyo, il étudie la peinture à l'huile avec Okada Saburōsuke (1869-1939) et Fujishima Takeji. En 1912, il commence à pratiquer la gravure sur bois et, en 1913, la gravure sur cuivre.
Dès son plus jeune âge, il dessine. A l’âge de onze ans, Otto Wols se découvre une passion pour la photographie en recevant son premier appareil. Il photographie des portraits, comme le Portrait de Mutti, la grand-mère de Wols en 1927. Après ses années lycéennes, il devient ouvrier pour Mercedes-Benz. Il est ensuite employé dans un studio de photographie dans lequel il réalise de talentueux portraits. Durant son temps libre, il fréquente de nombreux artistes comme Otto Dix.
Jean FAUTRIER (1898-1964)
André-Vincent BECQUEREL (1893-1981)
ATO Montre de dame en acier, mouvement mécanique à remontage manuel, couronne invisible, cadran noir bracelet aligator - Dim. 25 mm
Connaissez-vous le sculpteur Eugène Dodeigne ?
Connaissez-vous l'artiste Antony Caro ?
Connaissez-vous le sculpteur Thierry Van Ryswyck ?
Shepard FAIREY
Shepard FAIREY
Shepard FAIREY
Fred BROUARD (1944-1999)
Ses premières œuvres empilées présentent une compréhension taxonomique du monde, et il a déclaré qu'il considérait les objets fabriqués par l'homme comme des "clés fossilisées d'un temps passé qui est notre présent".
La Louvière-Saint Vaast 01/09/1855, Monyon 03/01/1941