Charles Picart Le Doux, tableau, vente aux enchères mercredi 19 septembre
Charles PICART LE DOUX (1881-1969)
Paysage
Paysage
La marginalisation des genres dans les sculptures publiques va au-delà de l’art et affecte l’égalité des chances :
Suite à une découverte sensationnelle dans la province du Henan, en Chine, des chercheurs suggèrent que l’art existe depuis bien plus longtemps qu’on ne le croit. Et qu’il ne serait pas le produit de l’Homme moderne.
Bacon en toutes lettres
Du 11 septembre 2019 au 20 janvier 2020.
À la suite des monographies consacrées à Marcel Duchamp, René Magritte, André Derain ou encore Henri Matisse, le Centre Pompidou poursuit la relecture des œuvres majeurs du 20e siècle et consacre une vaste exposition à Francis Bacon. La dernière grande exposition française de cet artiste eut lieu en 1996, au Centre Pompidou. Plus de vingt ans après, « Bacon. En toutes lettres » réunit des peintures de 1971 - année de la rétrospective que lui consacrent les galeries nationales du Grand Palais - à ses dernières œuvres en 1992 ; Didier Ottinger assure le commissariat de l’exposition qui explore de façon inédite l’influence de la littérature sur la peinture de Francis Bacon.
Six salles, ponctuant le parcours du visiteur, placent la littérature au cœur de l’exposition. Y sont lus des extraits des textes puisés dans la bibliothèque de Francis Bacon. Mathieu Amalric, Jean-Marc Barr, Carlo Brandt, Hippolyte Girardot, André Wilms, Valerie Dreville et Dominique Reymond lisent Eschyle, Nietzsche, Bataille, Leiris, Conrad et Eliot.
Claude Monet, maison et jardins, une visite fraîcheur culturelle
Claude Monet a vécu de 1883 à 1926, soit près de quarante-trois ans, dans sa maison de Giverny. Passionné par le jardinage autant que par les couleurs, il a conçu son jardin de fleurs et son jardin d’eau comme de véritables œuvres. En se promenant dans son jardin et dans sa maison, les visiteurs ressentent toujours l’atmosphère qui régnait chez le maître de l’impressionnisme et s’émerveillent devant les compositions de fleurs et devant les nymphéas qui ont été ses sources d’inspiration les plus fécondes.
En entrant dans la maison de Monet, le visiteur doit imaginer la maison résonnant des cavalcades des huit enfants, des allées et venues de Claude Monet entre son atelier et le jardin, l’atmosphère qui régnait dans la cuisine dès le matin quand les légumes arrivaient tout frais du potager, les retours de marché, les arrivées des amis venus de Paris…
Au rez-de-chaussée : le « salon bleu », « l’épicerie », le salon- atelier.
La visite commence par le salon de lecture encore appelé « petit salon bleu », qui communique avec « l’épicerie » où étaient entreposés le thé, l’huile d’olive, les épices et les œufs, dans des meubles suspendus au mur. On entre ensuite dans le premier atelier de l’artiste, où il a travaillé jusqu’en 1899. Cette pièce était ensuite devenue un salon chaleureux, où l’on prenait le café confortablement installé dans les sièges en rotin de style anglais, parmi les objets familiers, les photographies et les toiles du maître.
Au premier étage : les appartements privés
D’abord la chambre de Monet où le bureau à cylindre et la commode du 18e siècle sont toujours à leur place. De nombreuses toiles de maîtres étaient alors suspendues au mur, qui ont aujourd’hui disparu et ont été remplacées par des tableaux de l’époque. Par la fenêtre de sa chambre, le peintre pouvait admirer le clos normand et profiter de son rosier grimpant favori : le Rosa ‘Mermaid’.
La visite se poursuit par le cabinet de toilette de Monet, celui d’Alice et sa chambre, qui donne sur une minuscule pièce destinée aux travaux de couture.
Au rez-de-chaussée : la salle à manger, la cuisine
La salle à manger de la maison a été reconstituée dans ses moindres détails. Sur les murs jaunes, on peut admirer la collection d’estampes japonaises. Les meubles peints en jaune étaient alors très modernes pour l’époque. Dans les vitrines, on peut voir la vaisselle en faïence bleue, le service jaune et bleu, que Monet avait fait faire pour les jours de fête. Dans la cuisine aux carreaux bleus de Rouen, l’immense cuisinière aux multiples fourneaux et les ustensiles de cuivre semblent attendre le retour de leurs propriétaires.
Les oeuvres de Barnett Newman appartiennent à un monde muséal, mais avis aux amateurs certaines oeuvres sont encore disponibles sur le marché de l'art.
MAUBOUSSIN (Monture), collection ''DREAM AND LOVE''
Collier en or gris 750 millièmes, retenant en pendentif un motif triangle à bords arrondis orné d'un diamant taille poire en serti griffe. Tour de cou composé d'une chaîne maille forçat limée, agrémentée d'un fermoir mousqueton. Signé, numéroté. Il est accompagné d'un certificat d'authenticité en date du 17.12.2006.
Poids du diamant: 1.28 ct. D VS2.
Il est accompagné d'un certificat LFG n°361757 du 05.07.2019.
Poids brut: 9.70 g. Long: 40.5 cm.
Délicate broche pendentif en or 56 zolotniks (583 millièmes) et argent 800 millièmes, à décor ajouré de rinceaux feuillagés, orné de diamants taille ancienne dont un en pampille taille triangle en serti rabattu. L'ensemble ponctué de roses diamantées ainsi que la bélière. (très léger accident sur une volute)
Travail russe vers 1908-1917 (Odessa).
Maître orfèvre: ST.
Poids brut: 6.20 g. Dim: 4.5 x 3.2 cm.
Erotica - Coupe cigare en bronze figurant une jeune femme nue allongée les bras levés - 13,3 x 2 cm
Salvador DALI (1904-1989)
Léonor FINI (1907-1996)
Léonor FINI (1907-1996)
Henri MATISSE (1869-1954)
ZAO Wou-Ki (1920 - 2013) - L'étang - Huit gravures illustrant un poème de Jean LESCURE - Paris, Editions Galanis - Ouvrage signé par l'artiste et par l'auteur, édité en 119 exemplaires comprenant huit eaux=fortes et aquatintes originales sur Auvergne Richard-de-Bas - Justifié 79 - Très bon état intérieur - Emboîtage légèrement passé
ZAO Wou-Ki (1920 - 2013) - L'étang - 8 engravings illustrating a poem by Jean LESCURE - Paris, Editions Galanis - Book signed by the artist and the author, published in 119 copies including eight original waters=fortes and aquatintes on Auvergne Richard-de-Bas - Justified 79 - Very good internal condition - Slightly passed case
Jacques Henri GUYOT (1946)
Henri HAYDEN (1883-1970) - Château de Saint Rémi des Chartreuses - Huile sur carton signée en bas à gauche - 55 x 45 cm - Carton gondolé
Henri HAYDEN (1883-1970) - Château de Saint Rémi des Chartreuses - Oil on cardboard signed below left - 55 x 45 cm - Curled cardboard
Ortega Muñoz est né en 1899 à San Vicente de Alcántara, fils d'une personnalité locale exceptionnelle, et à l'âge de six ans, il est orphelin de sa mère. Il obtient son baccalauréat à Salamanque, bien qu'en raison de sa vocation marquée pour la peinture, qu'il pratique en autodidacte depuis son enfance, il rejette la recommandation de son père de poursuivre une carrière universitaire et déménage à Madrid en 1919.
Antoine CALBET (186-1944)
La nichée - Bronze - Candélabre à trois lumières à motif de nid d'oiseaux en ronde-bosse reposant sur un pied tripode à motif d'escargots en ronde-bosse - H. 51 cm
Auguste CAIN (1821-1894) - The nest - Bronze - Three lighted candelabra with bird's nest motif in the round hump resting on a tripod foot with snails in the round - H. 51 cm
Roger CHAPELAIN MIDY (1904-1992)
Georges Frédéric ROTIG (1873-1961)
Notre-Dame de Paris, construite au XIIe siècle et touchée par un très violent incendie lundi soir, n'est pas qu'un immense monument d'architecture : la cathédrale est aussi un trésor qui abritait de nombreuses œuvres d'art, d'artisanat et des reliques vénérées par les catholiques.
Victor CHARRETON (1864-1936)
L’implication directe de Dalí dans la sculpture commence par une idée, une image et une maquette originale qu’il réalise comme base de sa sculpture.
MONTBLANC ''MEISTERSTÜCK SOLITAIRE''
Stylo plume en argent 800 millièmes, le capuchon décoré de bandes de laque grise sur fond guilloché. La plume en or 750 millièmes, l'agrafe en métal argenté. Signé, numéroté. Il est accompagné de sa boîte contenant son écrin et un guide d'utilisation.
Poids brut: 31.90 g.
MONTBLANC "MEISTERSTÜCK SOLITAIRE
800-thousandths silver fountain pen, the cap decorated with grey lacquer bands on a guilloché background. The gold nib 750 thousandths, the silver plated metal clip. Signed, numbered. It comes with its box containing its case and a user guide.
weight: 31.90 g.
JUVENIA
Montre bracelet d'homme en or 750 millièmes, de forme rectangulaire, cadran doré avec chiffres arabes dorés, petite trotteuse à 6 heures. Attaches rouleaux. Mouvement mécanique signé. Boîte française. Bracelet cuir avec boucle ardillon en or 750 millièmes. Vers 1940/45. (petits choc et égrisures sur le verre)
Poids brut: 32.90 g. Dim: 35 x 23 mm.
JUVENIA
Men's bracelet watch in 750-thousandths gold, rectangular shape, gilded dial with golden Arabic numerals, small second hand at 6 o'clock. Roller fasteners. Mechanical movement signed. French box. Leather strap with 750-thousandths gold pin buckle. Around 1940/45. (small impacts and scratches on the glass)
weight: 32.90 g. Dimension: 35 x 23 mm.
HERODIA
Montre bracelet de dame en or 750 millièmes, cadran argenté avec chiffres arabes et index épis appliqués. Mouvement mécanique signé. Bracelet cuir avec boucle ardillon en métal. Vers 1940. (en l'état)
Poids brut: 11.90 g. Dim: 28 x 18 mm. (avec les anses)
HERODIA
Ladies' wristwatch in 750-thousandths gold, silver dial with Arabic numerals and applied epis markers. Mechanical movement signed. Leather strap with metal pin buckle. Around 1940. (as it stands)
Brutto weight: 11.90 g. Dimension: 28 x 18 mm. (with handles)
ZENITH
Montre chronographe monopoussoir en or 750 millièmes, cadran émaillé blanc 2 compteurs avec chiffres arabes peints, règles de calculs. Mouvement mécanique, échappement à ancre, spiral Breguet, roue à colonne pour le chrono, signé. Vers 1900. (usures)
ZENITH
Single-pusher chronograph watch in 750-thousandths gold, white enamelled dial, 2 counters with painted Arabic numerals, slide rules. Mechanical movement, anchor escapement, Breguet spiral, column wheel for the chrono, signed. Around 1900. (wear and tear)
PATEK PHILIPPE
Montre de poche en argent 800 millièmes, boîtier entièrement ciselé à décor feuillagé et de rocaille, le dos figurant ''Saint-Georges terrassant le Dragon'', à l'intérieur une scène représentant le Christ dans un bateau sur une mer démontée et la mention ''Intempestas Secvritas''. Ces deux scènes associées avaient généralement pour but de protéger les voyageurs, notamment les pèlerins.
Cadran ciselé de rinceaux feuillagés avec cartouches émaillés blanc pour les heures en chiffres romains ainsi que pour les minutes. Cuvette intérieure signée Patek Philippe & Co, numérotée 56828. Mouvement mécanique sans clef, échappement à ancre à ''moustache'', balancier bimétallique compensé, spiral Breguet, ligne droite. Vers 1890. (en l'état pour le mouvement, usures pour la boîte)
Poids brut: 111.80 g. Diam: 48.5 mm.
PATEK PHILIPPE
Pocket watch in 800-thousandths silver, fully engraved case with foliage and rockery decoration, the back featuring''Saint-Georges terrassant le Dragon'', inside a scene representing Christ in a boat on a rough sea and the mention''Intempestas Secvritas''. These two associated scenes were generally intended to protect travellers, especially pilgrims.
Dial engraved with foliated foliage scrolls with white enamelled cartouches for hours in Roman numerals as well as for minutes. Inner bowl signed Patek Philippe & Co, numbered 56828. Mechanical keyless movement, moustache anchor escapement, bimetallic compensated balance, Breguet balance spring, straight line. Around 1890. (as it stands for the movement, wear and tear on the case)
Brutto weight: 111.80 g. Diameter: 48.5 mm.
Louis-Benjamin Floutier (1882-1936) n’est pas né en Pays basque, mais à Toulouse, en 1882. C’est là-bas, à l’École des Beaux-arts qu’il entame son instruction artistique. Lauréat de l’école, il juge cependant ne pas en savoir assez, et enchaîne avec l’École des beaux-arts de Paris, dont il sortira lauréat également. Très vite, il enchaîne les récompenses (premier logiste au Concours du Prix de Rome en 1905, deuxième prix Chevanard…) et commence à se faire un nom.
Chapelain-Midy a rajouté à son nom celui du second mari de sa mère. Après un rapide passage aux Beaux-arts de Paris il s’inscrit à l’académie Colarossi en 1926. Il réalise divers travaux publicitaires puis fait sa première exposition à la galerie Drouant en 1930. Il obtient le prix des Muses décerné par un jury d’écrivains et de peintres ; ce prix lui permet de découvrir l’Italie, Piero Della Francesca et les pré-renaissants. Il se marie en 1935 et s’installe rue Lhomond dans le 5e arrondissement de Paris où vécut jusqu’à la fin de ses jours. En 1937 il expose à la Biennale de Venise, réalise des décorations murales pour l’institut agronomique à Paris, le foyer du TNP au Palais de Chaillot, et collabore avec Jean Picart Le Doux pour la décoration du pavillon de la Syrie et du Liban à l’Exposition Internationale. Il réalisera entre 1957et 1974 d’autres décorations murales : Cité technique de Cachan, lycées (Enghien, Neuilly), facultés des sciences (Rennes, Paris), préfecture de Mézières, Palais des Congrès de Versailles, ainsi que pour plusieurs paquebots - Provence, Jean Laborde, Bretagne, Compiègne, France.
Né en 1961 à Colmar, Jérôme Mesnager passe son enfance à Paris.
En 1974 il fréquente l’atelier de Jean Pierre Le Boul’ch. De 1975 à 1979, il suit les cours de l’Ecole Boulle dont il sort ébéniste. En 1979 à l’Ecole des Arts Appliqués, il suit les cours de Bandes Dessinées de Got et Pichard. En 1982, il fonde deux associations. « Poudre d’or », lieu de travail et d’exposition et « Zig Zag dans la savane » dont le but est d’investir et de travestir les lieux désaffectés. Premières performances, le corps couvert de peinture blanche, il déambule dans ces espaces voués à l’oubli et à la démolition pour leur donner un nouveau souffle de vie. Le premier Corps Blanc nait en 1983 sur un des murs de la Petite Ceinture dans le cadre d’une journée Zig Zag. Le lendemain Jérôme Mesnager décide d’envahir les rues de Paris. « Corps Blanc symbole de la lumière, de la force et de la paix ».
Mesnager fait parti des peintres de la rue avec, en France, Miss Tic, Nemo, Speedy Graphito, Jeff Aérosol, les Moskos, E. Pignon-Ernest et bien d’autres…Aujourd’hui il vit auprès de sa femme Aude et de ses enfants, Louis, Paul et Blanche.
Tangage, 1949-50
Né à Paris, l'artiste a vécu plusieurs années dans la célèbre cité d'artistes de La Ruche, dans le XVe arrondissement, où il a côtoyé Brancusi. Peintre figuratif mais aussi abstrait, il était proche de Picasso et de Fernand Léger. Influencé par le cubisme picassien, c'est cependant surtout dans l'art de la couleur de Matisse que Marcel Mouly a trouvé sa source d'inspiration majeure.
C'est en 1948 que Marcel Mouly a vu son premier tableau intégrer les collections nationales françaises. Ses peintures ont été exposées dans le monde entier, notamment en Suède où il était très connu. La dernière exposition de ce peintre décoré de la distinction de chevalier de l'Ordre des arts et des lettres remonte à 2007, à Paris.
D’abord élève des Beaux-arts de Nancy, Claude Weisbuch est ensuite nommé professeur de gravure à l’école des Beaux-arts de Saint-Étienne. Après des débuts confidentiels, il parvient à se faire connaître en 1961, date à laquelle il reçoit le prix de la critique.
Son œuvre est essentiellement consacrée à la gravure, par laquelle il aime à traduire par le trait, la vie, le mouvement et le caractère des personnages de ses gravures : polichinelles, arlequins, musiciens et scènes équestres.
Claude Weisbuch est aussi peintre et dessinateur.
Ses couleurs privilégiées sont les ocres, les bruns et les blancs par lesquels il cherche toujours à introduire les effets de lumière par des compositions dans lesquelles le trait et la finesse du dessin conservent la vie que l’on trouve dans ses gravures.
Son trait précis et dynamique livre une œuvre tout en mouvement et tourbillonnante sur des thèmes qu’il affectionne : le théâtre, l’opéra, le milieu équestre, les musiciens, et de nombreux portraits.
Ses œuvres ont l’aspect de croquis inachevés mêlant peu de couleurs mais une vivacité du trait sidérante.
Claude WEISBUCH a reçu de l’empereur du Japon le titre de dieu vivant.
De nombreux musées possèdent ses œuvres.
Jean Jules SALMSON (1823-1902)
Jean FAUTRIER (1898-1964) - Petit Nu H d'après l'Alleluiah - Eau forte sur Vergé d'Auvergne signée au crayon et justifiée sur 50
Jeune femme dénudée - Ivoire signé - Socle marbre - Hauteur : 10,8 cm (hors socle) - 15 cm (avec socle)
Joe DESCOMPS (1869-1950)
Jean FAUTRIER (1898-1964) - Lespugue - Robert Ganzo avec 11 lithographies originales de Jean Fautrier - Exemplaire marqué O - Signé par l'auteur et l'artiste - Dédicacé par Robert Ganzo - Edition 1942 - En l'état